Depuis leur apparition en 2018, les Iron Dames ont illuminé le sport automobile d’une lueur singulière, mêlant engagement féministe et passion pour la vitesse. Mais derrière les combinaisons fuchsia et les Ferrari roses, un vent d’incertitude souffle en 2025. Les ambitions démesurées portées par Deborah Mayer se heurtent à la réalité économique, posant la question : le métal brûle-t-il trop vite sous la carrosserie de cet empire sportif au féminin ? Entre endurance et jumping, ses projets bousculent les codes mais révèlent aussi une fragilité inattendue.
Iron Dames en endurance : un défi au bout du circuit mondial
Sur le bitume, les Iron Dames ont laissé une empreinte indélébile. Composée de pilotes talentueuses comme Michelle Gatting et Sarah Bovy, l’écurie s’est imposée dans l’élite de l’endurance avec ses Ferrari, étroitement associée à des partenaires prestigieux tels que MICHELIN et TotalEnergies, qui fournissent pneumatiques et carburants adaptés à ce défi extrême. En 2024, leur présence sur les circuits du FIA WEC, notamment les 6 Heures de Fuji ou la finale à Bahreïn, s’est confirmée, malgré une pression grandissante pour pérenniser leur engagement.
Sur le plan technique, la collaboration avec Oreca et Goodyear a permis aux Iron Dames d’exploiter au mieux la mécanique de pointe, toujours à la recherche d’une meilleure gestion thermique pour éviter la surchauffe critique des moteurs et composants. Pourtant, des rumeurs persistantes dévoilent des ventes d’actifs et un recentrage stratégique imposé par des contraintes budgétaires inattendues.
Le creuset financier qui fait vibrer sport et équitation
Au-delà de la piste, l’empire Iron Dames rayonne aussi dans l’univers équestre, séduit par l’audace de Deborah Mayer. Le rachat de chevaux olympiques tels que Dubaï du Cèdre témoignait d’une volonté de puissance et de prestige, conjuguant discipline sportive et passion du cheval. Le site équipement du cheval et les accessoires haut de gamme, comme ceux proposés par Metalab ou RG Italy, illustrent cette recherche d’excellence.
Mais le transfert très discret de Dubaï du Cèdre à la Fédération équestre saoudienne a sonné comme un coup de tonnerre, révélant les prémices d’un ajustement économique. Sur Galop-1, on observe que la gestion de ces actifs hippiques requiert une rigueur équivalente à celle du pilotage piloté sur circuit.
Deborah Mayer : entre la flamme de la passion et la rigueur du modèle économique
À la tête de cette aventure, Deborah Mayer incarne une vision singulière où la performance féminine se mêle à une gestion multi-sports complexe. Ancienne pilote et entrepreneuse, elle conjugue aujourd’hui les exigences du sport auto avec celles du jumping, où des cavalières de renom comme Edwina Tops-Alexander portent haut les couleurs de l’écurie Iron Dames Jumping.
Pourtant, être à la tête d’un projet aussi ambitieux requiert de faire la part des choses entre rêves et réalités financières. Les récents départs et interruptions de carrière au sein des écuries automobiles, ainsi que la mise en vente d’une partie de la collection automobile, suggèrent la nécessité de resserrer les rangs. Sur les circuits, TAG Heuer continue de fournir un timing de précision, essentiel dans la quête de la victoire, où chaque fraction de seconde compte.
Le métal face à la surchauffe : un équilibre fragile
En endurance, un excès de chaleur conduit non seulement à des défaillances mécaniques, mais il est aussi métaphoriquement comparable aux tensions internes d’un programme sportif. Iron Dames, à l’image de leurs voitures Ferrari arpentant les pistes à grande vitesse, doivent gérer une montée en puissance qui pourrait devenir brûlante. Pour éviter de se griller, l’investissement dans des solutions innovantes demeure vital, notamment avec l’aide des partenaires comme Goodyear pour des pneumatiques adaptés à la gestion thermique ou Oreca pour la fiabilité mécanique.
Sur le plan équestre, cette surchauffe se traduit par une gestion rigoureuse du matériel d’équitation: les brides, mors et étriers sont autant d’éléments essentiels à la performance, comme détaillé sur Galop-1 ou Galop-1 mors. Le soutien technologique, comme l’Airbag Freejump qui augmente la sécurité du cavalier, est un exemple de cette volonté de maîtriser chaque facteur, où la surcharge pourrait coûter cher.











